Suzanne adorait son chien Hector. Elle l’avait adopté quand celui-ci était un nouveau-né.
Maintenant, le chien avait quatre ans. Ils se promenaient ensemble presque tous les soirs.
Ce jour-là, ils sont partis un peu loin. Soudain, Suzanne a vu un serpent entouré autour d’un arbre.
Le danger était très proche et la jeune femme a crié. Hector est venu au secours de son propriétaire en aboyant.
La vipère a reculé, mais avant de partir, il a mordu le nez du chien.
Suzanne est rentrée immédiatement pour prendre sa voiture. Elle a emmené Hector chez un vétérinaire.
D’abord, le docteur a fait une injection d’antihistaminique pour bloquer l’effet du poison.
Au début, le chien allait bien, mais dans quelques heures, il s’est détérioré.
La bosse sur la morsure a grandi, la tête et le cou ont enflé et la respiration est devenue très difficile. L’animal ne pouvait ni boire ni manger.
En l’examinant de nouveau, le vétérinaire en est venu à la conclusion qu’il fallait employer de l’antidote, mais il a ajouté que ce médicament était prévu pour les hommes et aussi qu’il coûtait très cher.
Suzanne était prête à sauver son chien à n’importe quel prix.
Le vétérinaire a injecté Hector une grande dose d’antidote, substance destiné à neutraliser l’effet du poison.
Heureusement, le chien a bien réagi au médicament. L’état d’Hector s’est amélioré. Sa vie a été sauvée.
Suzanne a averti aux propriétaires des chiens qu’il fallait prendre gare aux serpents, surtout entre les mois d’avril et de juin.