Renée, déjà 40 ans, se souvient de la naissance de sa fille Kennedy.
Les médecins ont proposé à la jeune mère d’emmener le bébé dans un orphelinat, car la fille était née atteinte de la leucémie et du mongolisme. Selon les spécialistes, la mère passerait toute sa vie avec un enfant handicapé.
Mais une sage-femme lui a rendu visite et lui a dit que la petite était tout simplement un miracle. Il s’est avéré que l’infirmière avait elle-même une fille mongolique de 16 ans.
La mère a décidé de s’occuper de son bébé à tout prix.
Ensuite, la petite Kennedy a dû subir une intervention à la colonne vertébrale, sinon le bébé risquerait la paralysie. Et puis elle a porté sur la tête une armature métallique, pendant six mois, pour corriger le développement de ses os.
René et sa fille ont fait face à tous les obstacles. La femme a réalisé que la créativité était la raison pour laquelle sa fille était née. Et elle ne s’était pas trompée.
Dès que la jeune fille s’est sentie bien, elle a commencé à apprendre à danser.
Bientôt, l’adolescente a signé un contrat avec une agence de mannequins, a participé à des spectacles de talents et à des concours de danse et aussi a gagné de l’argent en apparaissant dans des publicités.
Aujourd’hui, dans la vie personnelle de Kennedy, tout va bien. La fille a trois frères et sœurs et plusieurs amis qui l’aiment beaucoup.
Kennedy a également un petit ami nommé Matthew, qui a quatre ans de plus qu’elle. Le jeune homme aussi souffre du mongolisme.
La jeune fille adore sortir avec ses amis, réaliser des vidéos pour les réseaux sociaux, d’un mot, elle est une adolescente typique.
« Ma fille a apporté tellement de joie et de rire dans notre vie », a déclaré Renée.
