Mike Digout aimait se promener le long de la rivière et prendre de belles photos de la faune du pays. Il photograhiait des animaux et des oiseaux qui vivaient à proximité.
Avant, Mike Digout n’a jamais sympathisé les oies. C’était ici qu’il avait rencontré les oies pour la première fois.
Et lorsqu’il sortait avec son appareil photo, il admirait les oies venues du sud à la recherche d’un nid ou bien nager dans la rivière.
Mike disait que c’était très amusant de regarder les oies se battre pour nicher.
Mais ce qu’il a vu un jour, assis dans un lieu couvert de roseaux, était un spectacle incroyable.
La maman oie se reposait avec un grand nombre d’oisons. Ce jour- là, les bébés étaient 16.
Le photographe s’est étonné de la quantité des petites oies qui cherchaient une place sous le plumage de la mère pour y passer la nuit.
Il disait que ces oisons mignons se ressemblaient aux balles de tennis avec des pieds.
L’homme venait chaque nuit chercher la mère oie avec ses petits et chaque fois le nombre des oisons s’augmentait.
L’autre fois, il y avait 25 petits, après ils étaient 30, puis 47. Et chaque fois, la mère s’assurait qu’ils étaient tous en sécurité.
Le photographe a compris que cette mère oie s’occupait des petits de différentes familles.
Il supposait que la génération de cette espèce se formait lorsque les oiseaux patients gardaient les bébés des autres oies, afin de leur offrir quelques nuits de repos.
Les oisons grandissent très vite et maintenant ils ne se cachent plus sous les plumes de la maman qui avec son compagnon est responsable de 25 petites oies jusqu’à ce qu’ils partent vers le sud en automne.
